Marcrons, marcrons dans le système,
Qu'un sang contaminé inonde nos journaux...
Télévisés.
Ils nous prennent pour des cons,
Fatalement, ils ont raison.
Nous sommes tous coupables
Dans la course au bonheur ajustable.
Que surgisse une guerre
Un peu loin de nos frontières,
S'ils nous laissent le pognon,
Dans le fond monétaire, ce n'est pas nos oignons.
Nos bonnes consciences TV
Sont là pour tout dévier.
Nos journalistes fétiches
Vont bien nous maintenir à la niche.
Un sujet surexploité
Pendant des mois au JT
Ne fait soudain plus recette.
Alors, il part vite aux oubliettes.
Car il perd tout intérêt
Quand un autre montre son nez.
Il est donc vite relégué,
Même s'il est encore d'actualité.
On veut nous faire très peur
C'est ça qui est porteur.
Nous garder dans le malheur
Pour bien modérer nos ardeurs.
Ils doivent obéir aux ordres,
Sinon ils vont se faire mordre.
Le pouvoir fort les contrôle
A ne pas faillir à leur rôle.
Ils en ont bien sûr conscience,
Mais ils font allégeance
Pour garder leur job pantouflard
Sinon direction le placard.
La faute à qui, Nitouche?
Bien sûr à la télouche.
Qui booste l'audimat
A coups de glyphosates.
Là pour intoxiquer
Pour nous bien effrayer.
Du pandémique danger,
Le masque sur le nez.
Même seuls dans leur auto,
Complètement paranos,
On voit les téléphages,
Qui sont très à la page.
A jour d'actualité,
A fond traumatisés.
Ils méritent de durer
Pour tout droit revoter.
Marcrons, marcrons...
No
comment !