Quand la grande faucheuse ma vie aura chassé,
Quand mes neurones partiront en fumée,
Restera tout de même une très douce pensée
Pour vous que j'ai aimés et écoutés.
De vous, j'ai tant appris, vous m'avez fait voler,
Je fus ce que de moi vous avez fait.
J'espère également vous avoir offrande
De mon coeur et de toutes mes demandes.
Je n'ai pas, je le sais, toujours été présent.
Ça n'a pas atténué mes sentiments.
Vous étiez dans mon coeur, vous serez dans ma mort,
Et dans des siècles, vous y serez encore.
Vous m'avez bien aidé à vivre et à grandir.
Vous m'avez inspiré rires et sourires.
Vous m'avez bien traité et souvent embrassé.
Je vous dédie ces mots attentionnés.
Par vous, j'ai progressé. Vous m'avez épaulé.
J'ai mûri solitaire à vos côtés,
Vous êtes de ma race, vous êtes frères de lait,
Et soeurs de force qui m'avez redressé.
Et lorsqu'un jour je ne serai plus parmi vous,
Pensez à moi, oubliez-moi, je m'en fous.
Mais soyez bien certains que là-bas dans mon trou,
Mes cendres, mes atomes se souviendront de vous.
Chanson pour
plus tard...