Au bar du Caméo,
Ça vous brûle dans la gorge,
Les lampées d'alcool d'orge,
Calmées par l'eau de coco.
C'est bon,
Une journée à Itapuã, au soleil vif d'Itapuã,
Au son des eaux d'Itapuã, chantant l'amour d'Itapuã.
Une journée à Itapuã, sur la plage d'Itapuã,
Au son des airs d'Itapuã, vantant douceur d'Itapuã.
Et quand la mer acquiert
Ces nouveaux tons de verts,
Bavarder en douceur
Devant une suave liqueur.
Le regard tout perdu
Vers le ciel et la mer,
Sentir bien doucement
La Terre tourner et les heures.
C'est bon,
Une vesprée à Itapuã, face au couchant d'Itapuã,
Au son des vagues d'Itapuã, rythmant la vie d'Itapuã.
Une soirée à Itapuã, au crépuscule d'Itapuã,
Aux tons rosés d'Itapuã peignant le ciel d'Itapuã.
Puis sentir le frisson
De la brise du soir,
Et le doux babillage
Du frottis des coquillages.
Dans cet espace serein,
Sans hier ni demain,
Révasser sous la lune,
La lune d'Itapuã.
C'est bon,
Une veillée à Itapuã, soudain fraîche à
Itapuã,
Et le ressac d'Itapuã, qui te berce à Itapuã.
Une nuitée à Itapuã, sous les étoiles d'Itapuã,
Dans les soupirs d'Itapuã...
Avoir connu Itapuã.
C'est une libre interprétation, avec quelques
infidélités. A peine car j'ai voulu être fidèle.
C'est difficile de traduire une chanson en essayant
de trouver des rimes sans altérer l'esprit et en
restant au plus près du texte original. Mais j'en suis
assez satisfait après quatre versions.