Un tétin juché sur un beau téton
Pour moi, gai luron, Il était intéressant
D'étudier de plus près ces seins ronds,
De goûter ces tentants fleurons.
Une bouche d'enfant tétait sans vergogne,
Le bruit de succion rougissait ma trogne.
Ces lèvres d'enfant que j'avais été,
N'auraient plus jamais les mêmes attraits.
Et pourtant comment expliquer ce goût,
Pour les tétons blancs ou pleins de mois d'août.
Il était tentant d'attendre mon tour,
Mais à l'évidence, c'était pas mon jour.
Je bouillais d'envie, moi adolescent,
D'une tiède bouillie, n'ayant pas seize ans.
Mais elle me toisa, d'un clin d'oeil m'invita
De ne pas me priver de ses excès de lait.
Il était grand temps tant j'avais envie,
De son lait tentant, j'étais tétanisé,
Tétanisé j'étais, tout d'même je tétais,
Plutôt mal que bien ces superbes seins.
Ces tétins si bons, ces tétins si longs,
Je n'pouvais me priver de ses surplus de lait.
Ce joyeux fantasme n'est pas arrivé,
De ma vie durant, mais on peut rêver.
J'ai toujours eu un très fort penchant pour la mamelle.