Ô toi, qui sais que je suis un tocard,
Prends dans ton palais mon vote de jobard,
Qui grâce à mon support, mon support en or,
Va pour sûr pouvoir gagner les élections,
Bien sûr, à quoi servirait-il de lutter ?
Puisque tu as si bien organisé ton impunité...
Alors qui est donc le plus pourri, toi ou moi qui vote pour toi ?
Odieuse ode !