Ecouter
Après les yeux et leur regard,
Nez et oreilles, il y a la gloire,
La grande quête de maturité
Qui avait très tôt commencé.
Après les yeux, viennent les tétins,
Car les tétons, c'est bien les seins.
Et les tétins, les mamelons
Sous une autre appellation.
Oui, ils m'appellent, c'est la raison
Pour laquelle j'ai perdu cette raison.
Dans les tétons, si on voyage,
On y découvre de doux rivages
Plus colorés et assez ronds
Souvent grumant en petits monts.
Et le rubis qui peut grandir
Un puits de lait qui doit durcir.
Mes tétins ne sont pas les miens,
On me les prête pour que je m'y arrête.
Et j'ai des goûts très prononcés
Que j'ai acquis dans ces pays,
Toutes ces régions à explorer.
On peut dire que j'ai bourlingué !
J'aime les gros seins, c'est obligé,
Car je me plais à les masser,
Alors que d'autres les aiment plus plats,
S'il pendent bien, je suis béat.
Et l'aréole, je l'aime foncée
Prohéminente à falaises prononcées.
Plus elle est large et plus j'adore.
Elle pourrait prendre plus de place encore.
Le mamelon, court ou bien long,
Ça m'est égal, est toujours bon.
Je l'aime discret ou bien géant
Presque effacé ou prohéminent.
Mes tétins ne sont pas les miens,
On me les prête pour que je m'y arrête.
Pour résumer, je préfère l'aréole
Pour son côté exalté, frivole.
Et le périple le plus merveilleux,
C'est quand j'y fais bien sûr de mon mieux
Pour que l'extase soit partagée,
Que la balade soit couronnée.
Après les yeux, ces luminaires,
C'est l'aréole que je vénère.
Ce ne sont que mes goûts,
heureusement pas la généralité.