Ecouter
Sylvia, quand je t'ai vue la première fois,
Sylvia, j'ai su que ma route ne se ferait pas sans toi.
Ton visage rayonnant de joie,
Tes yeux sombres quelquefois emplis de peine,
Et ton sourire triste, tout cela en toi m'a attiré.
J'ai tout de suite aimé te consoler.
Le bonheur que je t'offre, la vie te le doit bien.
Rien ne sera trop beau pour toi et tu chanteras.
Je le sais, j'en suis sûr, je le jure,
Si tu vis chaque minute avec moi.
Sylvia, mon amour grandit de jour en jour.
Sylvia, que sera-t-il demain si tu n'es pas là.
Mais tu sembles si éloignée de moi,
Et pourtant, je sens quelquechose en toi qui te pousse vers moi.
Depuis longtemps déjà, tu modules ma vie,
Mais l'espoir revient vers moi chaque nuit,
Le bonheur que je t'offre, crois-moi, tu peux le prendre.
Je sais qu'il te conviendra, que tu l'aimeras,
Que tu ne pourras plus t'en passer une fois que tu y auras goûté.
Sylvia, si tu écoutes bien ma chanson,
Sylvia, alors tu comprendras que pour moi tu comptes tant.
Je voudrais avec toi m'en aller
Sur la route d'un futur ensoleillé,
Et vivre d'un bonheur qui serait enfin partagé.
L'avenir nous appelle, n'entends-tu pas ?
Allez, prends donc ma main, serre-la très très fort,
Regarde dans mes yeux, jette-toi dans mes bras !
Et d'un sourire très doux, prends-moi dans ta vie.
J'ai l'impression que ça fait des siècles
Que tu vis à chaque instant dans mes pensées.
Sylvia, quand je t'ai vue la première fois,
Sylvia, j'ai su que tu serais tout pour moi.
Sylvia, tue donc ta tristesse et souris-moi.
J'ai retrouvé la partition et ça m'a ramené à
l'âge de 26 ans.
Touchant et niais, cette histoire s'est terminée bien vite,
car la belle dont j'étais éperdument amoureux était
une menteuse
chevronnée qui cachait chaque mensonge par un autre.