Que des fous taisent leurs lois sans foi, bonjour.
Que des roux fassent leur toits sans moi, toujours.
Que des mous massent leur foie sans joie, bat-jour.
Que des loups cassent leurs rois sans doigts, amour.
Que des lois rasent leur sous, bonsoir.
Que des rois casent leurs fous, histoire.
Que des moi taisent leurs nous, espoir.
Que des oies jasent leurs gôuts, rasoir.
Que des laids poussent leur voix, à l'air.
Que des niais troussent leur proies, pas clair.
Que des gays moussent leur poix, pivert.
Que des taies houssent leur draps, hiver.
Que des leurres, que des leurres !
Que des flous coincent leur doigts,
Que des trous tronchent leurs bois,
Que des joues froncent leur joie,
Que des poux pincent leur soies,
Que des brous cassent leurs noix,
Que des igloos passent leur froid.
Que des cous leurrent leurs yeux, bonbec
Que des fous beurrent leurs pieux, pain sec
Que des doux meurent leurs vieux, long bec,
Que des boues deurent leurs lieux, pas dac.
Que des leurres, que des leurres !
Que des rats joutent sans bruit,
Que des bis routent leur juy,
Que des loups loutent leurs cris,
Que des draps flottent au lit,
Que des mâts coûtent leur prix,
Que des chats bottent leur tri.
Que des ronds fleurent leur nuit,
Que des sons pleurent leur bruit,
Que des joncs gleurent leurs truies,
Que des fleurs cachent leurs fruits,
Que sa peur crache leur suie,
Que des soeurs mâchent leurs buis.
Que des leurres, que des leurres !
Que des leurres pendant des heures !
C'est
pas la meilleure...