Punaise diabolique, tu mérites des coups d'trique.
Punaise dysentrique, tu sens pire qu'une colique,
Punaise satanique, tu m'es antipathique,
Punaise bordélique, tu me rends colérique,
Punaise diahrréique, tu étais asiatique,
Dev'nue endémique, je vais te faire la nique.
Chaque année c'est pareil,
Juste avant les grands froids,
Elles se cherchent un toit,
Pour leur sommeil annuel,
Elles se mettent en veill..euse.
Elles rentrent par milliers,
Se cachent dans les volets,
Puis aux plis des rideaux,
Pour être bien au chaud,
Mais elles puent bien tro-op...
Punaise puante, tu te cognes aux carreaux,
Punaise puante, tu cours sur le bureau,
Punaise puante, tu t'accroches aux rideaux,
Punaise puante, même derrière les tableaux,
Punaise puante, je t'attrap'rai bientôt.
Punaise puante, tu iras dans mon pot.
Punaise diabolique, tu me réveilles la nuit,
Punaise cahotique, tu t'faufiles dans mon lit,
Punaise hystérique, tu cherches le rififi.
Punaise fatidique, ton sort est compromis.
Punaise prolifique, tu m'empoisonnes la vie.
Punaise boulimique, je mets ta tête à prix.
Chaque été c'est pareil,
Quand dehors il fait chaud,,
Elles baisent, elles baisent, elles baisent,
Elles pondent, elles pondent, elles pondent,
Des hordes de marmots.
Elles bouffent, elles bouffent, elles bouffent,
Nos plants par grosses touffes,
Qui sont un vrai fiasco,
Ellent courent et elles volent,
Vers le prochain poireau...
Mais dans l'eau savonneuse
Que je mets dans mon pot,
Elles finissent en vitesse
Je suis un sale bourreau,
Mais vraiment, elles puent trop ! Trop !
Punaise !
J'en ai noyé à peu près 15000 cet hiver. Infernal !