A force de cogner ma tête à des plafonds pour rire,
Comme disait Charlie, un jour, elle y restera.
A force de tomber des nues, à force d'éventrer,
Comme disait Jackie, ma tête nue à tous les coins de rues,
A force de tuiles qui m'ont fracassé, qui m'ont ben-hurisé,
Comme disait Willy, avec et même sans amandes,
A force de taper dessus, pour tout y faire rentrer,
Comme disait Johnny, je deviendrai fêlé.
A force de casser mon crâne, a force de crâner,
Comme dirait Yuli, de me l'écrânouiller,
Mes pariétaux, mes temporaux, même mon occipitôt,
Comme dirait Tardy, finiront par s'esquinter.
A force de grêlons qui me grèlent, me martèlent comme
métal,
Comme dirait Charlie, et que m'envoye le ciel,
Ces contondantes tuméfactions me rendront mécontent,
Comme dirait Pagny, je serai très peiné.
Bon exercice que de trouver les références.
C'est le jeu des 2 Euros.